À la base la valeur du miroir est de 150 euros, mais une vendeuse dans Affaire Conclue a réussi à le vendre 127 000 euros.
Le miroir de Lie Vautrin à 127 000 euros dans Affaire conclue
Les passionnés d’objets historiques pourront admirer « Affaire Conclue». Dans ce numéro, de nombreux vendeurs affichent des articles qui, selon eux, peuvent contenir une valeur réelle très élevée. En agissant de la sorte, ils profitent de gains plus importants! Le dossier de Caroline est l’un des plus notoires ! Ce dernier a trouvé un miroir signé Line Vautrin lors d’une brocante. Après l’achat de l’objet, elle le donne à Harold Hessel pour une estimation. En effet, celui-ci détermine la vraie valeur de l’objet proposé. Ce miroir dans Affaire Conclue en question possède quelque chose de très particulier ! Justement, Line Vautrin a carrément inventé un tout nouveau matériau pour le fabriquer. Pour ce faire, il se sert de couches de résines traitées pour obtenir ce qu’il appelle aujourd’hui le talosel.
L’analyse de Harold Hessel indique que le miroir vaut presque 6000 euros. Cependant, les acheteurs ne sont pas d’accord avec lui. Ainsi, cet artefact sera l’objet le plus cher du programme « Affaire conclue »
Les acheteurs s’emparent de l’objet artistique!
Il est important de noter que les acheteurs dans « Affaire conclue » ne sont pas des personnes ordinaires. En fait, ils savent très bien ce qu’ils font, en dépit des critiques formulées par les internautes.C’est la raison pour laquelle ils peuvent être très agressifs dans l’obtention d’un article particulier. Par exemple, Benoît Charraudeau et Damien Tison rivalisent fortement pour obtenir le miroir Line Vautrin. Après beaucoup de surenchère, l’artéfact tombe enfin entre les mains du premier. Malgré tout, il risque gros dans cet investissement, car il doit payer 127.000 euros pour ce miroir dans Affaire conclue ! Cependant, tout le monde est d’accord qu’il sait exactement ce qu’il est en train de faire. Cette fois-ci, le propriétaire de l’objet se sent ravie après avoir entendu le montant final. Selon la vendeuse, grâce à l’argent de la vente, elle pouvait lancer sa microentreprise dans le domaine de l’antiquité et la brocante. L’argent l’a aidé également à se former à la restauration des miroirs anciens à la feuille d’or.