Le prix de l’immobilier va chuter jusqu’à atteindre les 20% au cours de cette année 2023. Nous allons vous expliquer les raisons de ce phénomène qui peut être paradoxal par rapport à la situation actuelle.
L’immobilier : les prix vont chuter pour 2023 !
Est-ce que vous savez qu’acheter une maison pourrait vous coûter moins cher bientôt ? En tout cas, c’est ce qu’annonce une étude du think tank Terra Nova datant du 30 mai dernier et partagé par surf-finance.com. Les cours de l’immobilier pourraient chuter de 20% en 2023. Oui, vous avez bien entendu, le prix de l’immobilier va chuter cette année 2023. Plusieurs évènements sont les causes de cela. Avec l’augmentation des taux d’intérêt en haut de la liste ! Notamment, responsable d’une plus grande difficulté à accéder aux crédits, et donc à l’achat.
De plus difficulté pour contracter un prêt immobilier, raisonne avec raréfaction du nombre d’acquéreurs potentiels ! Ainsi que les conséquences directes sur les prix du logement. Surtout depuis dix ans, la tendance était tout le contraire. À mesure que les taux étaient décidément bas, les prix de l’immobilier avaient monté en flèche. Et maintenant, nous nous trouvons à la croisée de ces deux époques.
Le challenge des vendeurs !
Le marché est à court d’énergie après des années de croissance constante. Et la fin ou la réduction de certaines aides publiques comme le crédit sans intérêt exacerbe la situation. Le plafonnement a déjà été atteint dans certaines régions où les prix ont commencé à chuter. Les actifs ayant une situation géographique défavorable, ou du moins un point trop populaire, et les logements anciens, sont les premiers concernés par ce ralentissement des prix. Bonne nouvelle pour les acheteurs, mais mauvaise nouvelle pour les vendeurs. Parce qu’une chute des prix signifie une éventuelle diminution de la valeur de ses actifs, soudainement mis en concurrence avec des milliers d’autres marchandises.
Oui le prix de l’immobilier va chuter en 2023. Il faudra ensuite s’armer de patience pour faire face à des délais de vente nécessairement allongés. Les négociations seront également plus dures, avec des acheteurs exigeant et en demande des remises importantes au vu de ce nouveau marché beaucoup moins prometteur. C’est un double défi que le secteur se prépare depuis quelques mois.