Des changements s’annoncent. Il se pourrait que le contrôle technique des deux roues deviennent une réalité en France.
Les changements : le contrôle technique des deux-roues bientôt mis en place ?
Pour éviter les accidents et les mauvaises surprises, chaque véhicule, léger et lourd, doit faire un contrôle technique. Cela se passe dans des centres agréés par les préfets de département, avec une périodicité qui dépend du type du véhicule.
Toutefois, un véhicule en particulier échappe à cette règle mise en place depuis 1992. Il s’agit des deux-roues. Cependant, d’après les dernières informations, il se pourrait qu’il y ait quelques changements au sujet du contrôle technique de ces deux-roues.
En effet, depuis quelque temps, trois associations se battent pour qu’on étende le contrôle technique jusqu’à ce type de véhicule. Il s’agit de « Respire », « Ras le Scoot » et « Paris sans Voiture ». Ces dernières veulent donc qu’on mette en place cette mesure qui concerne la moto.
Si jusqu’à présent, le concept de ces changements sur le contrôle technique des deux-roues restent incertain, on sait tout de même que cela portera surtout sur le bruit et les émissions polluantes de ce véhicule. De même, les trois associations veulent faire aussi éviter aux conducteurs de deux-roues des accidents dûs à des problèmes mécaniques.
Aucun commentaire du côté du gouvernement
Face à ce combat que mène « Respire », « Ras le Scoot » et « Paris sans Voiture », le gouvernement n’a encore rien dit. Ce dernier reste silencieux à ce sujet, mais les trois associations ne laissent pas pour autant tomber leur lutte.
Leur souhait c’est que le Conseil d’État va obliger le gouvernement à instaurer ce contrôle technique aux deux-roues. Une obligation qui sera notamment sous peine d’une astreinte définitive d’un million d’euros par jour de retard.
Si le gouvernement n’a encore pas réagi à ce combat des trois associations, cela pourrait être une évolution logique de la réglementation. Toutefois, on ne sait pas encore si cette mesure sera vraiment mise en place.
Si ce sera le cas, on devra donc créer des centres de contrôle agréés. De même, il faut aussi former des techniciens spécialisés qui se chargeront de contrôler les deux-roues. Par conséquent, l’État doit donc investir.