Attention, désormais, il faut se méfier de ces formats familiaux dans les supermarchés, puisque qu’ils sont la cibles de plusieurs arnaque. On vous dévoile plus de détails dans l’article.
Arnaques aux formats familiaux dans les supermarchés !
L’association Foodwatch fait une sensibilisation contre les formats “familial”. Celle-ci sensibilise la transparence dans l’agro-industrie et la distribution. Elle dénonce aussi les aliments vendus au format « familial », mais « plus chers au kilo ou au litre ». L’association a pointé du doigt certains produits vendus plus cher en format « maxi » ou en lots. Et ce, lors d’un communiqué ce mercredi.
En effet, Foodwatch explique « avec l’inflation galopante, de nombreux consommateurs souhaitant faire des économies se tournent vers ce qu’ils pensent être de bonnes affaires ». Toutefois, le prix par kilo des grands formats est parfois plus élevé, en réalité, que le même produit dans un emballage standard. Par ailleurs, l’organisation non gouvernementale, a vérifié dans les rayons des principales chaînes de la grande distribution. Par la suite, elle a relevé début avril une liste de 12 produits dont le prix en formats spéciaux était au kilo plus élevé que le format standard. Oui, il s’agit bel et bien des arnaques aux formats familiaux dans les supermarchés.
Gnocchi, gouda, brioche font partie de ces 12 produits !
Tout de suite prenons un exemple ! Le prix au kilo des gnocchis à poêler Lustucru, gonfle de 7 %. C’est observable, entre le paquet de 300 grammes et celui de 500 grammes. Ce cas a été observé au Carrefour de Vannes. Par contre, à la bûche de chèvre Président, le prix prend 5,5 % au format maxi chez l’Hyper U de Saint-Avé (Morbihan).
Autre exemple avec la brioche en tranches Harrys, dont le prix au kilo en taille maximale augmente de 6,2% à E.Leclerc de Vannes. Effectivement, il s’agit bien des arnaques aux formats familiaux dans les supermarchés. À noter que cette liste n’est pas exhaustive. De plus, le prix des denrées dépend de chaque magasin ainsi que du moment où il est mesuré. Et ce, sachant qu’il est très volatil en période d’inflation. Mais selon Foodwatch, « chaque centime supplémentaire payé par kilo ou litre sur une taille spéciale est un centime de trop ».
