Selon une étude, en cas de syndrome des ovaires polykystique, le risque de mortalité est élevé !
Les symptômes du SOPK !
Sachez que les symptômes du syndrome de l’ovaire polykystique apparaissent en général à la puberté, lors des premières règles. Mais, peut aussi survenir bien plus tard. Ils varient beaucoup d’une personne à l’autre et ne se font pas tous sentir avec la même intensité. Chez quelques femmes, le SPOK peut être particulièrement invalidant. Par ailleurs, certains symptômes ne sont pas nécessairement présents. Cependant, chacun d’eux doit cependant faire évoquer le diagnostic de SOPK. Il est important de savoir que syndrome des ovaires polykystiques est un cycle menstruel perturbé qui rend le risque de mortalité élevé. Le désordre d’ovulation est courant .C’est-à-dire que la rareté ou l’absence d’ovulation qui correspond à des cycles menstruels irréguliers, qui durent entre 35 et 40 jours depuis l’adolescence. Même par l’absence totale des règles (aménorrhées). Ce trouble de l’ovulation cause la stérilité chez la moitié des femmes atteintes de SOPK. De 25 à 30 ans, l’infertilité est souvent la raison de la consultation. Notamment si les symptômes dus à la hausse de sécrétion de la testostérone (hyperandrogénie) sont peu marqués.
Syndrome des ovaires polykystiques : risque de mortalité !
En présence de SOPK, les ovaires sécrétent trop d’androgènes et surtout de testostérone. Depuis la puberté, ce désordre peut être responsable : d’une hyperpilosité. Ou encore l’hirsutisme chez 70% des femmes ayant un poil excessif sur le visage (lèvre supérieure, menton), poitrine, dos, fesses ! D’une peau grasse et l’apparition de l’acné à l’adolescence et persiste après l’âge de 20 ans ! Ou bien, une chute de poils (alopécie) en haut du crâne et au niveau des parcours de golf frontaux. Par ailleurs, certaines femmes atteintes de SOPK ont tendance à prendre beaucoup de poids et ont du mal à perdre du poids. Par conséquent, la surcharge pondérale est courante et il existe une corrélation entre l’indice de masse corporelle (IMC) et l’infertilité associée au SOPK. Cependant, il faut faire très attention, puisqu’en cas de syndrome des ovaires polykystique, le risque de mortalité devient élevé.
D’après Terhi Piltonen, ces résultats mettent en lumière « la nécessité d’améliorer la gestion du diabète. Les infections pulmonaires et les maladies cardiovasculaires empêcheront la surmortalité chez les femmes atteintes de SOPK.” A titre de rappel, Terhi Piltonen est le co-auteur de l’étude et chercheur à l’Université d’Oulu et à l’Hôpital Universitaire d’Oulu (Finlande).