Aurore Morisse a accepté de revenir sur l’histoire de vi*lences conjugales que lui a infligées son ex compagnon. Découvrez les détails sur cette affaire qu’elle n’a pas souhaité livrer à la justice.
Aurore Morisse a eu le nez cassé et quelques côtes cassées
Dans un podcast « Face à la juge Gruwez », Aurore Morisse s’est livrée sur de nombreuses chapitres de sa vie, dont des vi*lences conjugales. Cette épreuve, elle ne l’avait jamais évoquée en public avant ce jour. Elle ne l’a même pas évoqué face à la justice.
Comme elle l’a expliqué, elle ne voulait pas qu’il ait un casier judiciaire plus important. Apparemment, le fait de l’avoir livré à la justice aurait pu nuire à la carrière de cet homme. En effet, il aurait fait les grands titres, comme l’a souligné l’acheteuse de « Affaire conclue ».
Si elle a décidé de se taire, elle a cependant pris la décision de faire un constat chez le médecin. Ce dernier a alors révélé à la brocanteuse un nez cassé et des côtes cassées. Suite au constat, elle a préféré en parler à son entourage.
Elle avait peur de partir, mais elle a fini par sauter le pas
Selon son récit, Aurore Morisse avait peur de quitter cet homme qui lui a infligé des vi*lences conjugales. Elle avait surtout ressenti des craintes sur ce qui pouvait arriver par la suite. Finalement, après avoir rassemblé le minimum de courage qu’elle avait, elle a pu prendre une décision.
Bien que la liberté lui ait coûté cher, elle a avoué aimer sa liberté. Laissant derrière elle, cette personne dont elle n’a pas révélé le nom, elle a avancé en regardant droit devant elle. Apparemment, c’est une liberté méritée pour l’acolyte de Caroline Margeridon qui s’est laissé marcher sur les pieds dans sa jeunesse.
Il est à noter que si Aurore Morisse avait porté plainte pour vi*lences physiques, son agresseur aurait risqué minimum entre 3 à 5 ans de prison, avec 45 000 à 75 000 € d’amende. Normalement, pour ses côtes cassées, elle aurait dû avoir une ITT de plusieurs semaines. Ce qui fait que la peine aurait pu monter à 10 ans d’emprisonnement et 150 000 € d’amende.