Découvrons les personnes à risque et les plus vulnérables aux AVC ! En mettant en lumière les traits distinctifs et les prédispositions à cette condition de santé.
AVC : les personnes à risque !
Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) constituent un problème de santé majeur en France, touchant environ 150 000 personnes chaque année. Ces incidents graves sont pris au sérieux par les autorités médicales et sanitaires. En effet, ils sont la première cause de décès chez les femmes et la troisième chez les hommes. Donc, il est important de connaître les personnes à risque des AVC. Dans la grande majorité des cas (80%), les AVC sont de type ischémique, résultant de l’obstruction d’un vaisseau sanguin par un caillot. Cette information provient des Hôpitaux Universitaires Genève, mettant en lumière la nature complexe de cette maladie.
Bien que tous les AVC ne conduisent pas au décès, leur impact est souvent grave, avec des séquelles importantes touchant environ 40% des victimes, d’après l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (Inserm). Ces séquelles, telles que des troubles de la parole, de la motricité ou de la concentration, peuvent persister pendant des années. Soulignant l’importance cruciale de la prévention.
Facteurs de risque et prévention des AVC
Divers facteurs médicaux et de mode de vie influencent la probabilité de subir un AVC. La Fondation pour la Recherche sur les AVC met en évidence l’hypertension artérielle, le diabète et l’hypercholestérolémie comme des facteurs médicaux prédisposant. Ces problèmes de santé, souvent silencieux, nécessitent une surveillance régulière des paramètres. Tels que la pression artérielle, la glycémie et le taux de cholestérol. Ensuite, le tabac, en tant que facteur lié au mode de vie, accroît significativement le risque d’AVC. Effectivement, les fumeurs sont exposés à un doublement du risque. Qui peut même quadrupler avant l’âge de 50 ans. Même le tabagisme passif est associé à un risque accru. En outre, l’obésité et le surpoids jouent également un rôle important. D’ailleurs, les personnes obèses fond parties des personnes à risque des AVC. Ces risques sont en partie génétiques, mais aussi liés à un mode de vie sédentaire.
D’autre part, la consommation excessive d’alcool a des implications sur le risque d’AVC, en particulier les hémorragies cérébrales. Cependant, pour les infarctus cérébraux, de nombreuses études suggèrent qu’une faible consommation peut être associée à un risque moindre ! Contrairement à une consommation excessive.