D’après les estimations, un nouveau variant de covid-19 va voir le jour à la rentrée des classes ! Il faut donc se préparer au pire.
Un nouveau variant de covid-19 qui inquiète !
La situation est inquiétante, parce que récemment, plusieurs Français se sont récemment plaints de maux de tête. Gorge, fièvre ou autres douleurs. Des symptômes qui ne sont pas sans ranimer le douloureux souvenir des pointes de contagion de la COVID-19. Sa propagation a continué de ralentir jusqu’en juin, et l’OMS a levé l’état d’urgence médicale en mai. Toutefois, début août, la santé public en France alertait dans un bulletin d’information ! « dans toutes les tranches d’âge, et en particulier chez les adultes, il y a une augmentation dans les passages aux urgences dans de faibles effectifs ! Et ce, pour suspicion d’infection à la COVID-19. Ainsi, les signes avertisseurs sont encore modérés, mais ils méritent attention. Comme tout indice pour éviter une nouvelle vague de contamination dans le pays. Donc probablement, il s’agirait d’un nouveau variant de covid-19 !
D’abord impliqué dans cette augmentation, légère à ce jour, cas: une nouvelle variante qui rencontre le nom doux de « EG.5 » ou « Eris ». La souche serait maintenant majoritaire en France et présente dans 35% des analyses recueillies. En tout cas, c’est ce qu’affirme GISAID, une « base de données de référence pour le suivi de la COVID-19 » qui suit l’émergence de nouveaux variants, selon l’Institut Pasteur. Ce pourcentage doit être pris « soigneusement », souligne Mircea Sofonea, professeur à l’Université de Montpellier. Effectivement, « il s’agit d’un nombre limité de tests positifs, étant donné qu’ils ne sont pas représentatifs des infections ».
Un risque de crise sanitaire pour la rentrée
L’épidémie en dehors de la France évolue aussi sous l’influence de la nouvelle variante. Selon Forbes, 15% des infections en Grande-Bretagne sont causées par cette nouvelle souche. Et le pays voit cette proportion augmenter de 20 % chaque semaine. Tableau semblable aux États-Unis, où la version « Eris » était responsable de 17 % de la contamination le 5 août, comparativement à 12 % deux semaines plus tôt. En France, l’accent est maintenant mis sur le retour à l’école: « La question qui doit être posée est ce que nous ferons quand le taux d’immunité baisse. Et que les conditions (météo) seront légèrement plus humides et plus propices au virus, comme ce nouveau variant de covid-19. Probablement à la rentrée ou en hiver ». a expliqué le professeur Philippe Amouyel .
