La hausse des refus de crédit d’agents immobiliers entraîne des conséquences vraiment néfastes pour la société.
Agents immobiliers : hausse des refus de crédit
Le moral des agents immobiliers a baissé par suite du repli du marché. Toutefois, les professionnels expriment des préoccupations au sujet de l’accès à la propriété et des exigences de crédit. Sans compter la stabilité des prix de l’habitation et les perspectives économiques du secteur. On se préoccupe aussi de la confiance des acheteurs et des vendeurs. En outre, près de 60% d’entre eux rapportent une augmentation des ruptures de compromis commerciaux. De plus, il est de plus en plus difficile pour les acheteurs d’obtenir du crédit immobilier. Résultat : les ventes sont annulées. Effectivement, les refus de crédit d’agents immobiliers sont en hausse. Justement, environ 6 agents immobiliers sur 10 ont constaté une hausse des ruptures de compromis en raison de l’absence d’accord bancaire. Ce, malgré les efforts des acheteurs pour augmenter leur apport en capital.
D’autre part, les mesures contre les filtres énergétiques font face à des obstacles. En effet, les premières mesures de la loi Climat à propos des passoires énergétiques sont considérées comme positives par la majorité des agents immobiliers. Il s’agit notamment de l’interdiction de l’augmentation des loyers et des loyers depuis 2023. Toutefois, 80 % d’entre eux estiment que la mise en œuvre de ces mesures est inexacte. Par conséquent, les professionnels redoutent le manque de soutien des ménages, la réduction de l’aide et le manque de professionnels qualifiés. Ceci, pour effectuer les diagnostics obligatoires et effectuer les travaux de rénovation énergétique. En conséquence, le secteur de l’amélioration énergétique ne semble pas prêt à soutenir une transition aussi rapide.
Les vendeurs doivent faire face à la baisse des prix
Les agents immobiliers refusent de baisser leurs prix en dépit de l’évolution du marché. D’après 80 % des agents immobiliers, les vendeurs maintiennent des prix plus élevés que leurs estimations initiales. Par ailleurs, les acheteurs sont plus prudents et ne précipitent pas leurs plans d’achat en dépit des conditions de marché plus difficiles. Un grand risque face à la hausse du refus de crédit des agents immobiliers.
Par ailleurs, certains acheteurs excluent de leur choix les biens consommant de l’énergie. Ils ont donc recours aux obligations en matière de rénovation énergétique comme levier de négociations. Cette situation entraîne des temps de transaction plus longs et des difficultés dans l’identification des marchandises à vendre ou à louer.
