Le 06 avril dernier, le magazine Paris Match dévoilait une interview exclusive du chanteur. Au cours de l’entretien, Florent Pagny s’est longuement confié sur son combat contre son cancer. L’occasion idéale pour lui de révéler sa petite astuce pour éviter « d’avoir une tête de malade ».
Un livre autobiographique qui fait déjà grand bruit
C’est un exercice dans lequel le chanteur n’est pas forcément à l’aise. Mais à l’occasion de la sortie de son livre autobiographie, Florent Pagny a du faire une entorse à ses habitudes. De ce fait, il a accepté de se livrer auprès de nos confrères de Paris Match. L’occasion surtout pour lui de faires des confidences comme il n’en avait jamais fait au cours de sa carrière. Ainsi, le 06 avril dernier, on découvrait une interview exclusive du chanteur.
La veille, l’œuvre de sa vie et surtout sur sa vie était sorti aux éditions Fayard. Le livre est intitulé « Pagny par Florent ». L’entretien parle longuement du cancer de Florent Pagny. D’ailleurs, le journaliste lui a lancé une petite pique quant à sa nouvelle coiffure : « Je ne dis pas cela par rapport à votre nouvelle coiffure à la Yul Bryner. Mais vous connaissez l’adage ‘’la chance est souvent chauve, il faut l’attraper par les cheveux’’ ». De quoi faire rire le chanteur qui a répliqué avec humour : « Ne vous inquiétez pas, je m’accroche à mes trois poils pour ne pas avoir une tête de malade ».
Florent Pagny plutôt optimiste face à son cancer
Voilà de quoi rassurer ses fans tout de même quand on sait qu’un combat de la sorte n’est pas toujours gagné d’avance. En effet, Florent Pagny a su garder son humour légendaire malgré le cancer auquel il doit faire face. D’ailleurs, le chanteur se veut d’être optimiste malgré la situation. « Je n’ai jamais perdu le moral. La maladie n’est pas quelque chose qui m’obsède au quotidien. Je vous rassure, je dors super bien toutes les nuits. Attention, je ne dis pas que c’est pas fatiguant car il faut vivre au jour le jour ».
Ainsi, on peut affirmer que Florent Pagny aborde son combat contre le cancer avec sérénité. Cela dit, c’est aussi le moyen pour lui de rassurer ses proches. « Tous les jours, ils peuvent voir que j’ai la pêche à fond. D’ailleurs, je ne sais même pas s’ils en parlent entre eux. En tout cas, je veux voir cela comme une grosse grippe qui a du mal à passer ou qui revient. De toute façon aujourd’hui, tout le monde meurt avec un cancer. Néanmoins, je suis conscient d’avoir beaucoup de chance ».
