Hélène Ségara soufre d’une maladie auto-immune qui affecte ses yeux. Mais ne l’empêche pas d’être forte. On vous raconte tout.
La chanteuse doit compter sur ces proches
Force est de constater que la chanteuse, Hélène Ségara est une femme extraordinaire qui inspire le courage. En réalité, elle se bat chaque jour contre la névrite optique. Il s’agit d’une maladie auto-immune qui affecte ses yeux, en exerçant son métier de chanteuse et en participant avec fierté à « La Nouvelle Star ». Bien que la chanteuse ait toujours été très indépendante, elle a su s’ouvrir et chercher du soutien auprès de ses proches pour l’aider à traverser cette épreuve difficile.
Lors d’un interview accordé au magazine Gala, elle raconte comment elle a dû céder un peu de terrain en tant que cheffe de famille. Contrainte et forcée, mais comment cela l’a finalement aidée à renforcer sa relation familiale. Et de plus à découvrir de nouveaux moyens de surmonter les obstacles du quotidien. La détermination d’Hélène Ségara et sa résilience face à cette maladie sont un exemple inspirant pour tous ceux qui luttent contre l’adversité. « J’ai dû apprendre à pouvoir me reposer sur mes proches. Alors que jusque-là, c’était moi la personne forte. »
La maladie d’Hélène Ségara
Il est vrai qu’une maladie a un impact considérable sur la vie familiale de la personne. En tant que mère de deux enfants, elle fait face à d’autres difficultés dans sa vie quotidienne. Cela inclut des difficultés à prendre soin de ses enfants. Mais aussi, à s’occuper d’eux comme elle le souhaiterait. De plus, elle doit aussi prendre en considération les besoins de son fils Raphaël. Ce dernier qui est issu d’une précédente relation et qui a maintenant 32 ans. En dépit des défis physiques qu’elle doit surmonter, elle est toujours consciente de son rôle de mère. Hélène Ségara s’efforce d’être aussi exigeante envers ses enfants qu’avant sa maladie.
En fait, la chanteuse cherche constamment des moyens d’adapter sa routine quotidienne. Son objectif est de pouvoir passer plus de temps avec ses enfants et leur offrir le soutien dont ils ont besoin. « Je ne suis pas une mère cool. Je suis exigeante. Je m’assurais que mes enfants respectaient leurs horaires de repas, qu’ils étaient bien éduqués. Et à ce qu’ils me tiennent au courant lorsqu’ils sortaient […] Lorsqu’ils grandissent, ils doivent être autorisés à se développer à leur façon. Il est certain que le bonheur provient de la famille. Les entourages, on les voit souvent disparaître dès qu’on a des problèmes sérieux. Donc, il faut savoir où sont ses piliers. La famille est le plus sûr d’entre eux ».