Il ne s’agit pas d’une simple trouvaille archéologique, mais d’un véritable trésor dans une forêt en Italie qui a été caché durant des millénaires. En effet, il s’agit d’une somme d’une immense somme d’argent qui a été enterrée il y a plus de 2000 ans. Selon une reconstitution historique, ce trésor aurait été caché en raison d’une guerre civile. Pour préserver sa fortune, le détendeur du trésor a donc décidé de l’enterrer.
Une incroyable découverte: un trésor caché dans la forêt d’Italie
C’est en Italie que cette découverte des plus surprenante a été faite par des chercheurs. Pour être plus précis, c’est dans une forte dans la ville de Livourne, en Toscane, que des archéologues ont réussi à mettre la main sur un véritable trésor. Il s’agit d’un pot enterré qui contenait 175 pièces en argent enterrées et cachées là il y a plus de 2 000 ans.
Selon les explications des archéologues, ce trésor avait été enterré quelque part entre 157 av. J.-C. et 82 av. J.-C. En effet, cette période était très particulière. En effet, le territoire de la Toscane avait connu des histoires tragiques, dont quelques une correspondaient à cette période. De 83 à 82 av. J.-C., une sanglante guerre civile avait éclatée dans cette région d’Italie. Cette guerre avait été causée par la confrontation entre deux camps.
Une période durant laquelle des trésors ont été enterrés !
Aujourd’hui, la valeur de ce trésor s’élève à « une dizaine de milliers de dollars ». Apparemment, ce trésor aurait été caché dans un pot en terre cuite. Selon l’hypothèse d’un archéologue, ce trésor aurait appartenu à un soldat. « Je ne pense pas que nous devrions attribuer cet argent à un soldat, même si, en principe, c’est possible », a déclaré l’historien Federico Santangelo.
Mais cette explication ne justifie pas vraiment le fait que le propriétaire du trésor soit un soldat. Le fait de cacher ses biens sous terre en temps de guerre était une pratique assez commune à cette époque. Et ce, que ce soit pour un soldat ou pour un civil. Quoi qu’il en soit, le trésor est resté à sa place, ce qui signifie forcément que son propriétaire a surement péri pendant la guerre.
