Ce sont des personnes proches du chanteur qui ont fait ces révélations. Selon leurs explications, le père de Renaud, Olivier Séchan éprouvait beaucoup de jalousie envers son fils. Mais quelle pourrait-être la raison de cette animosité entre les deux hommes ?
Un documentaire qui retrace la vie du chanteur
Il y a quelques temps, un documentaire dédié à la vie de Renaud est sorti. Le film est intitulé « Renaud confidentiel ». Et comme son nom l’indique, le film regorge de révélations sur la vie du chanteur. Que ce soit sur sa vie professionnelle ou sa vie personnelle, tout est passé au crible. Si vous voulez en apprendre plus sur votre chanteur préféré, il faut absolument voir ce documentaire complètement inédit.
Par ailleurs, le fait qui a le plus marqué est sans doute cette confidence de Didier Varrod. Pour information, c’est le directeur musical des antennes de Radio France. En fait, ce dernier explique que Renaud avait une relation tumultueuse avec son père Olivier Séchan. Selon lui, le père du chanteur ne pouvait pas comprendre le succès fulgurant de son fils. Du coup, il a longtemps été jaloux de son fils. Et ce, malgré sa propre notoriété en tant qu’auteur de romans policiers et de littérature pour les jeunes.
Olivier Séchan et Renaud : une jalousie qui perdure
Évidemment, cette jalousie d’Olivier Séchan envers son fils Renaud n’est pas sans conséquence. C’est peut-être l’une des raisons qui ont fait sombrer le chanteur dans son addiction de l’alcool. En effet, c’est une période sombre de la vie du chanteur. D’ailleurs, sa carrière était aussi au plus bas à ce moment-là. Quoiqu’il en soit, la mère du chanteur a toujours été très fière de son fils. Tandis que son père pensait qu’il ne méritait pas son succès.
Selon Eric Jean-Jean, cette rancœur entre Renaud et Olivier Séchan peut s’expliquer facilement. En fait, le père était un écrivain qui n’arrivait pas à percer dans son art. En revanche, le fils connait le succès dont on ne vante plus les mérites. Dans le journal intime du père, on retrouvera cette phrase qui tue : « le succès de mon fils me tue ». Le pire, c’est que c’est le fils lui-même qui découvre cette phrase au moment de la mort de son père. De quoi culpabiliser un fils quand même.