La fraude à la CAF de cette femme a été découverte grâce à ses publications Facebook. Elle a dû rembourser 25 000 euros.
Fraude à la CAF : ses publications Facebook ont permis de tout découvrir
C’est vrai que la CAF offre plusieurs aides intéressantes mais pour en bénéficier, il faut remplir certains critères. Face à cela, certaines personnes qui ne sont pas éligibles à ces coups de pouce font tout pour les avoir. La plupart arnaquent la « Caisse d’allocations familiales » afin de toucher ces aides. Ce que ces escrocs ne savent pas, c’est que les agents de la CAF travaillent durs pour mettre les mains sur eux.
D’ailleurs, la CAF a découvert que cette femme de 50 ans leur a menti sur toutes les lignes. La fraude a été découverte par la CAF à l’aide de ses publications Facebook.
Celle-ci a bénéficié de l’aide de la caisse d’allocations familiales pendant près de 4 ans. Au total, elle a touché 25 000 euros. Pour pouvoir bénéficier de ces aides, elle a menti sur son identité. En effet, la quinquagénaire se disait être une mère célibataire isolée alors que ce n’était nullement le cas.
Son compagnon l’a aidée
En réalité, cette femme était en couple avec un homme de 45 ans. La CAF n’a pas dû chercher loin pour connaître cette information puisque les photos postées sur Facebook par la quinquagénaire prouvaient déjà tout.
Cette femme qui a commis cette fraude à la CAF et s’est faite trahie par ses publications Facebook a donc été mise en examen, suite à cette enquête. Au tribunal, elle a bel et bien confirmé avoir menti pour pouvoir toucher aux aides de la CAF.
Son mari a notamment révélé être son complice durant toutes ces années. Les deux tourtereaux ont, bien évidemment, été punis pour ce qu’ils ont fait. Des amendes leur ont été infligées et le couple doit donc payer 15 000 euros chacun. De même, la quinquagénaire et son compagnon sont aussi contraints de rembourser la somme qu’ils doivent à la « Caisse d’allocations familiales ». Ainsi, les deux tourtereaux doivent 25 000 euros à la CAF.
Il faut reconnaître que les fraudes à la CAF sont de plus en plus nombreuses en France. Le gouvernement cherche d’ailleurs déjà des solutions pour lutter contre les escrocs.
