Cette mère de famille qui est tatouée de partout ne trouve pas de travail. Malgré cela, elle ne renonce pas à sa passion.
Une mère de famille tatouée qui ne trouve pas de travail
C’est l’histoire de Mélissa Sloan. Cette mère de famille ayant deux enfants et qui vit à Londres a une passion assez particulière. Elle adore se faire tatouer, à tel point qu’elle a rempli presque la totalité de son corps.
La première fois qu’elle a fait un tatouage, c’était à ses 20 ans. Aujourd’hui, elle en a 45 et continue de se faire tatouer. Mélissa Sloan fait trois nouveaux tatouages, par semaine, d’après ses révélations.
« Je ne peux pas m’arrêter », dit-elle.
Elle emmène notamment sa machine à tatouer dans sa botte, et se fait tatouer par son mari, à tout moment.
Toutefois, sa passion a impacté la vie de Mélissa Sloan. Elle n’arrive pas à trouver un travail en raison de son apparence un peu particulière. Les employeurs doutent en effet de sa crédibilité et pensent que le physique de Mélissa pourrait causer des problèmes.
Elle ne compte pas laisser tomber sa passion
En voyant les tatouages de Mélissa Sloan, les employeurs ont tendance à reculer et n’ont pas confiance aux potentiels de cette maman de deux enfants. À noter que la quadragénaire avait déjà travaillé une fois durant sa vie. C’était pendant sa jeunesse. Depuis elle n’est plus retournée dans le monde du travail, ce qui lui a valu certaines critiques.
Pourtant, Mélissa Sloan ne dit pas non à une offre d’emploi. Elle est prête à se lancer, dit-elle, si elle reçoit une proposition.
« Si quelqu’un me proposait un emploi demain, j’irais travailler, j’accepterais cette offre », a-t-elle déclaré.
Elle affirme que les employeurs ont peur que son apparence pose problème au travail. Néanmoins, la mère de famille a notamment révélé que cette situation ne l’étonne pas vraiment. Elle n’a jamais été capable de s’adapter aux gens et préfère être elle-même. Elle ne semble pas non plus regretter d’avoir beaucoup de tatouages.
Au contraire, elle en est fière et ne compte pas renoncer à cette passion, malgré le fait qu’elle ne puisse pas trouver un travail.
