Elle pensait que sa migraine l’empêchait de parler. Finalement, il s’agissait d’un AVC. Zoom sur l’histoire de cette jeune femme.
Elle pensait que sa migraine l’empêchait de parler, c’était un AVC !
C’est l’histoire de Deborah Martinez, une jeune femme de 36 ans qui a failli perdre la vie à cause d’une attaque vasculaire cardiaque. C’est auprès de TODAY qu’elle a raconté ce qui lui est arrivé. Tout a commencé dans son bureau, il y a quelques années.
Elle avait le « discours brouillé » et pensait que sa migraine l’empêchait de parler. Finalement, il s’agissait d’un AVC et sa collègue, présente à ses côtés le jour du drame, l’a vite compris.
Ainsi, cette amie a vite réagi face au mal-être de Deborah Martinez. Elle a appelé le 911 pour signaler ce qui est arrivé à la jeune femme. En revanche, Deborah n’était toujours pas consciente du fait que sa vie pourrait être en danger. Elle continuait à penser que sa migraine l’empêchait de parler et n’imaginait pas une seconde que c’était un AVC.
Pour cause, comme elle l’avait raconté, elle avait souvent mal à la tête. Ainsi, Deborah pensait que c’était une simple migraine et que cela passerait.
Comment va-t-elle maintenant ?
Suite à ce qui s’était passé, les ambulanciers sont finalement arrivés sur le lieu de travail de Deborah Martinez. Cette dernière devait subir une opération afin de retirer le caillot par une chirurgie mini-invasive.
À ce moment-là, d’après la jeune femme, elle ne savait toujours pas qu’elle faisait une attaque vasculaire cérébrale. Elle continuait à penser que sa migraine l’empêchait de parler, et non l’AVC. Elle ne l’a compris que lorsqu’elle se « remet aux soins intensifs ».
Jusqu’à présent, Deborah ne sait toujours pas ce qui a pu déclencher l’AVC chez elle. Après l’opération, elle avait des difficultés à se « tenir debout et à marcher ». Elle a donc dû suivre une physiothérapie et une ergothérapie pour récupérer. Et aujourd’hui, la jeune femme se porte très bien.
Cinq ans plus tard, Deborah Martinez mène une vie normale et saine.
« Je vais très bien et je suis reconnaissante », a-t-elle déclaré.
Si avant son AVC, elle avait l’habitude de faire des exercices, Deborah ne manque plus aucun jour désormais. Elle remercie aussi sa collègue qui l’avait aidé ce jour-là.
« C’est grâce à elle que je suis ici aujourd’hui », a-t-elle dit.